Un jurassien tombé amoureux des montagnes valaisannes
Olivier Seidler a vu le jour le 22 septembre 1982. Sa maman Yvette Seidler née Seydoux est mère au foyer. Philippe Seidler, son papa, est retraité après une carrière d’électricien puis de bucheron au cœur des forêts jurassiennes. Avec sa grande sœur et son petit frère, Olivier a passé son enfance dans le petit village d’Undervelier.
Ecoles obligatoires et apprentissage
Depuis petit, Olivier était intrigué par l’odeur particulière des boucheries de campagne. Naturellement, après ses écoles primaires à Undervelier et le cycle d’orientation à Bassecourt, il a choisi d’apprendre le métier de boucher dans une entreprise traditionnelle. Lard fumé au cumin, saucisses d’Ajoie et cochonaille n’ont pas de secret pour lui. Durant les vacances estivales, ses parents l’emmenaient à l’alpage en Gruyère au milieu des fleurs des champs, de pâturages verdoyants et où les feux de bois crépitent dans les cheminées.
Des paysages en majesté
Lors d’un camp à Evolène avec l’école, Olivier a pris goût aux joies du ski et de la montagne. Engagé en qualité de boucher auprès d’une grande enseigne, il demande sa mutation en Valais après deux années afin de pouvoir profiter pleinement de sa passion pour l’alpinisme. À force de crapahuter les monts, sillonner les sentiers, passer la nuit au milieu de paysages grandioses, il postule à la Cabane Bertol pour devenir aide-gardien.
À sa grande surprise, il est embauché pour sa première saison d’été après un entretien et un stage de deux jours. En automne, il s’essaie au métier de vendeur dans un magasin de sports puis décide de renouer avec ses connaissances d’adolescent et entreprend le cours de fromager d’alpage.
La liberté comme maître mot
À partir de ce moment-là, Olivier, polyvalent, naviguera entre des saisons en cabane, en alpage ou en boucherie. En quête de paysages moins rocheux et d’une clientèle plus large, Olivier décide après quelques années de rejoindre en hiver principalement l’équipe de la Lämmerenhütte sur les hauteurs de Loèche-les-Bains. En été, sa première période de fromager le conduit dans les herbages de Gruyère à Intyamon puis il fabrique durant trois estivages le fromage de l’alpage de l’Arpalle au-dessus du charmant hameau de Commeire face à un panorama majestueux. Quand il descend de l’alpe, il reprend son premier travail dans différentes boucheries à Sion, à Riddes ou à Orsières.
Amy Stanley
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